Ce que la Religion enseigne n'est pas forcément l'Évangile
Je ne vis pas dans la sainteté pour attirer les regards de Dieu sur moi, mais la sainteté, je la vis en tant que conséquence logique de ma nouvelle identité.
Colossien 3 :1-3 « 1 Mais vous êtes aussi ressuscités avec le Christ : recherchez donc les réalités d'en haut, là où se trouve le Christ, qui « siège à la droite de Dieu ». 2 De toute votre pensée, tendez vers les réalités d'en haut, et non vers celles qui appartiennent à la terre. 3 Car vous êtes morts, et votre vie est cachée avec le Christ en Dieu. »
Je ne fuis pas les péchés pour que Dieu me bénisse. Mais je fuis les péchés parce que ce n'est plus ma vie, je ne me reconnais plus là-dedans.
Romains 6 :1-4 « 1 Que dire maintenant ? Persisterons-nous dans le péché pour que la grâce abonde ? 2 Loin de là ! Puisque nous sommes morts pour le péché, comment pourrions-nous vivre encore dans le péché ?
3 Ne savez-vous pas que nous tous, qui avons été baptisés pour Jésus-Christ, c'est en relation avec sa mort que nous avons été baptisés ? 4 Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême en relation avec sa mort afin que, comme le Christ a été ressuscité d'entre les morts par la puissance glorieuse du Père, nous aussi, nous menions une vie nouvelle. »
La prière ne doit pas seulement être transformée uniquement en des moments interminables de demande, mais elle doit beaucoup plus être un temps de qualité où nous exprimons notre complicité avec Dieu, notre adhésion à sa Parole, notre confession de l'œuvre totalement accomplie de Christ. Un temps où nous apprécions l'œuvre de la croix, où nous disons merci à Dieu de nous avoir tout donné en Christ. Elle doit être un moment d'échange paisible avec celui qui est là, sans agitation, ni précipitation. Elle doit être un temps où nous venons justifier Dieu, lui donner raison, aimer ce qu'il aime. Étudiez la prière de Jésus dans Jean 17 :1-26.
Un tel moment passé avec Dieu ne laisserait pas sortir celui qui prie comme il était venu.
Le jeûne ne doit pas être perçu comme un moyen pour forcer Dieu à nous donner des choses. Mais il doit être vu comme un moyen efficace de soumission de notre chair, de sa mortification afin qu'elle obéisse à l'esprit et nous permette d'opérer dans le surnaturel. Essaie 58 :3, « Que nous sert de jeûner, si tu ne le vois pas ? Pourquoi nous humilier, si tu n'y prends pas garde ? « Au jour où vous jeûnez, vous traitez vos affaires et vous exploitez tous vos ouvriers. »
Soyez bénis !
Pasteur Ben ILuka
« Il n'est jamais trop tard de commencer à mieux faire »