Le Rejet ne marque pas la fin de ton l'Histoire
Le rejet provoque l'une des blessures les plus profondes qui soient. Que l'on soit rejeté pour ce que l'on est ou pour nos actions, cela fait mal. Nous aspirons tous à être acceptés par les autres et, lorsque ce n'est pas le cas, c'est douloureux.
Dans Marc 12 :10, Jésus cite le Psaume 118.22: « N’avez-vous pas lu cette parole de l’Écriture : La pierre qu'ont rejetée ceux qui bâtissaient est devenue la principale de l'angle (...) ?»
Dans les constructions anciennes, les bâtisseurs recherchaient avec soin la pierre qui pourrait devenir la pierre angulaire, celle qui déterminerait la stabilité de la fondation de toute la structure. Ironiquement, la pierre rejetée par les bâtisseurs est devenue la plus importante.
Jésus a fait l'expérience du rejet. Mais, voici la bonne nouvelle : le rejet n'a pas le dernier mot. Ce ne fut pas le cas pour Jésus et il en va de même pour nous.
Jésus, celui qui a été rejeté par le monde, est devenu le fondement du royaume de Dieu. Ainsi, parce qu'il est la pierre angulaire, nous n'avons pas à craindre le rejet. En lui nous trouvons l'acceptation. En lui, nous sommes complètement reconnus et aimés.
Le rejet peut sembler être la fin de l'histoire, mais en Jésus, c'est souvent le début d'une nouvelle histoire.
Pasteur Clémentine